Volibri

Le mur, la paroi verticale... Les artistes l’imaginent comme un sol, un espace de jeu, de danse. L’élastique qui les tient leur donne accès à une recherche chorégraphique unique, où les limites physiques de la verticalité sont dépassées, où les mouvements sont empreints d’une douceur, d’une fluidité, d’une amplitude incomparable. Forme ouverte à l’écriture chorégraphique comme à l’improvisation, elle existe à travers le plan : de briques, de pierre, de verre, de fenêtres, de colonnes, de surface contemporaine comme ancienne, de falaise ou de forêt. Une diversité de supports qui, par leur constitution, leurs aspérités naturelles, permet à la danse de se réinventer perpétuellement.